En guise d'apéritif pour les résultats et l'exposition du concours Wildlife Photographer of the Year 2023 en octobre, 16 candidatures hautement recommandées ont été publiées pour consultation.
Ces images ne sont pas les gagnantes des catégories en lice pour le prix principal, mais sont présentées pour donner une idée de la qualité de photographie ce qui peut être anticipé.
Ces photographies et les 100 gagnants qui seront annoncés ont été sélectionnés parmi près de 50,000 95 candidatures provenant de XNUMX pays, précisent les organisateurs.
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Les gagnants du 59e concours seront annoncés le 10 octobre lors d'une cérémonie de remise de prix organisée par les présentateurs de télévision sur la faune et les défenseurs de l'environnement Chris Packham et Megan McCubbin.
Le vernissage de l'exposition des 100 meilleures images aura lieu le 13 octobre. Wildlife Photographer of the Year est développé et produit par le Natural History Museum (NHM) de Londres, où l'exposition commence, mais elle est ensuite présentée en tournée.
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Les candidatures ont été jugées de manière anonyme sur leur créativité, leur originalité et leur excellence technique par un panel international d'experts de l'industrie, indique le NHM. Sur les 16 images d’aperçu, trois sont des photos sous-marines capturées par des plongeurs, dont le britannique. Alex Moutarde.
Connexions coralliennes, hautement recommandé dans la catégorie Sous l'eau, a été prise par Mustard dans le détroit de Lembeh en Indonésie et montre la biodiversité d'un récif de corail en bonne santé alors que des gobies fantômes nagent dans les branches d'un gorgone.
Mustard aime particulièrement les gobies normalement nerveux et était déterminé à en photographier plus d'un dans le cadre, même s'il ne s'attendait pas à voir un parasite copépode sur l'un des poissons.
Les gobies fantômes utilisent les gorgones comme refuge ou plate-forme d'alimentation et se fondent parfaitement dans leur environnement. Capturer les couleurs vibrantes et contrastées impliquait de rester stable dans le courant pour obtenir une exposition suffisamment longue. (Prise avec un objectif Nikon D850 + 105mm f2.8, boîtier Subal, stroboscopes Retra, 1/8ème à f/16, ISO 100).
Le sceau qui disparaît, une image en mosaïque d'un phoque moine de Méditerranée prise en Grèce par Bruno D'Amicis d'Italie, a été hautement recommandé dans la catégorie Art naturel.
Travaillant sous permis, le photographe est resté caché sur un rebord pendant plusieurs heures avant que le phoque ne glisse dans les bas-fonds et ne disparaisse dans une grotte en contrebas.
Les reflets sur l'eau ont contribué à cacher l'insaisissable phoque et font allusion au risque d'extinction de l'espèce, qui est l'un des mammifères les plus menacés sur Terre en raison de la chasse historique et de l'empiétement de l'homme sur son habitat. (Prise avec un Canon EOS R5 + objectif 24-70mm f2.8 à 70mm + filtre polarisant, 1/250ème à f/3.5, ISO 3200)
Un autre photographe italien, Pietro Formis, capturé Mort en attente à Rijeka, Croatie (photographie principale). Hautement recommandé dans la catégorie Portraits d'animaux, il montre un observateur d'étoiles méditerranéen scrutant les fonds marins sablonneux.
Le prédateur en embuscade s'enfouit dans le sable en remuant son corps jusqu'à ce qu'il soit invisible à l'exception de ses yeux et de ses dents, puis attend les petits poissons et les invertébrés. Son habitat côtier est soumis à la pression de l'érosion et de la pollution, et il finit souvent comme prise accessoire.
Formis s'est approché avec précaution pour éviter de déranger le poisson et a combiné la lumière concentrée du flash avec une vitesse d'obturation lente et un mouvement délibéré de son appareil photo pour présenter son sujet éclairé à travers un rideau d'eau turquoise. (Prise avec un objectif Canon EOS R5 + 100 mm f2.8, boîtier Marelux ; stroboscope Inon Z-330 + snoot Marelux SOFT, 1/6ème à f/16, ISO 160)
Prise de prix by Jeff Pattyn de Belgique et des Pays-Bas, classé dans la catégorie Océans : une vue d'ensemble, et représente un pêcheur artisan traînant un voilier sur une plage de Puerto López, en Équateur.
Le photographe avait passé plusieurs matinées à regarder les pêcheurs débarquer leurs prises déjà préparées, entourés d'oiseaux affamés, pour les charger dans des camions.
La pêche artisanale fournit des emplois vitaux et est relativement petite en Équateur, mais elle a néanmoins un impact sur les mammifères marins qui s'emmêlent dans les filets. (Prise avec un objectif Canon EOS 7D Mark II + 24-105 mm f4 ; 1/500e à f/7.1, ISO 400)
Le dessus ainsi que les entrées Highly Commended liées à la plongée, et plus d'informations sur le Photographe animalier de l'année 2023 concours et exposition, à retrouver sur le site du Muséum d'Histoire Naturelle.
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